Alors que des organisations de la société civile projetttent une série de manifestations à partir de fin juillet, le Parquet général près la Cour d’Appel de Conakry brandit la menace. Les manifestations étant interdites en Guinée depuis 2022, le Parquet annonce que des actions seront déclenchées « sans délai à l’encontre des organisateurs de ces manifestations en cas de non-respect de cette interdiction et ce, conformément à l’article 41 et suivants du code de procédure pénaie ».
Prévue les 30 et 31 juillet et 1er août 2023, la série de manifestations vise à protester contre la fermeture des médias, la libération des membres du FNDC, les délestages électriques, entre autres.