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Depuis son lit d’hôpital à Ignace Deen, où il est admis depuis plusieurs jours, Mandian SIDIBÉ, ancien directeur général de l’OGP, s’élève contre un rapport des Nations Unies qu’il juge partial et déconnecté de la réalité en Guinée. Placé sous mandat de dépôt pour mauvaise gestion, le journaliste critique vigoureusement les conclusions des émissaires de l’ONU et défend l’action du régime de transition dirigé par le Général Mamadi DOUMBOUYA.
Guinée : Ce rapport de l’ONU qui est aux antipodes de la vérité … (Par Mandian Sidibé)
L’Organisation des Nations Unies vient de se prononcer sur la situation en Guinée à travers un rapport controversé, partial, à mille lieues de la réalité. Les auteurs du rapport semblent avoir fait, hors sol, un travail fondé exclusivement sur la fiction, les préjugés et la mauvaise foi.
Dans le fameux rapport, les émissaires de l’ONU prétendent avoir constaté « un effritement grandissant et inquiétant de la cohésion sociale dans un contexte croissant de tendances des autorités militaires de la transition perçues comme autoritaires par les acteurs nationaux rencontrés et de détérioration des conditions de vie des populations ».
Une allégation qui, a priori, ne tient pas du tout la route, dans la mesure où, sous la clairvoyance du Général-patriote Mamadi Doumbouya, la cohésion, l’unité nationale, l’entente entre le citoyens ne sont plus de vains mots en République de Guinée.
Grâce à la vision haute et éclairée du Président de la République, Chef de l’État, Chef Suprême des Forces Armées, Son Excellence le Général d’Armée Mamadi Doumbouya, depuis la date salvatrice et providentielle du 5 septembre 2021, les Guinéennes et Guinéens marchent dans la même direction, main dans la main, guidés par les mêmes aspirations. Ils agissent dans la concorde et l’harmonie.
Plus loin, les fameux émissaires de l’ONU, qui semblent avoir passé leur séjour de travail dans le confort douillet des hôtels, déplorent, dans leur rapport aux relents de règlement de comptes, « le manque de clarté sur le calendrier de retour à l’ordre constitutionnel, la participation potentielle des dirigeants de la transition à une future élection présidentielle, l’absence de consensus autour de la nouvelle Constitution et les défis socio-économiques [qui] alimentent le mécontentement social ». Une contre-vérité patente.
La République de Guinée est respectueuse des Organisations Internationales. Ses autorités tiennent, néanmoins, jalousement, à son indépendance et à sa souveraineté. Elles ont posé plusieurs actes concrets favorisant le retour à l’ordre constitutionnel conformément à la volonté et au désir du vaillant peuple de Guinée.
Le Président Général Mamadi Doumbouya a été on ne peut plus clair dans son adresse à la Nation du nouvel an, le 31 décembre 2024. La coqueluche des populations a annoncé la tenue de toutes les échéances électorales en 2025.
La République de Guinée compte donc finir bientôt, dans un engagement sans faille, avec cette transition caractérisée par la nécessaire refondation de l’État qui le repose sur des fondations solides et viables.
En ce qui concerne la dissolution de certains « partis politiques », il est nécessaire de rappeler aux émissaires onusiens que l’État guinéen a pris ses responsabilités pour mettre fin au désordre qui faisait florès dans le landerneau politique national.
À ce compte, le rapport des émissaires de l’ONU à Conakry est une vue de l’esprit. Tout observateur impartial le perçoit comme un travail partial, partiel et parcellaire, car il fait fi des changements notables apportés par le CNRD à la vie nationale guinéenne et va à l’encontre des principes du Palais de Verre Manhattan.
Le Général Mamadi Doumbouya est et demeure dans le cœur de ses compatriotes pour son œuvre variée et multidimensionnelle.
Mandian Sidibé, Journaliste
Depuis mon lit d’hôpital
