La Fédération Guinéenne de Football (FGF) est entrée dans une nouvelle période de turbulences, marquée par des divisions internes qui fragilisent son fonctionnement. Baydi ARIBOT, ancien 2e vice-gouverneur de la BCRG, dénonce cette cacophonie résultant de la contestation du président Bouba SAMPIL par les membres majoritaires de son comité exécutif.
Avec des accusations de mauvaise gestion et une situation préoccupante pour le football guinéen, notamment l’élimination des U17 et la quasi-disparition du championnat national, Aribot interpelle l’État guinéen sur son rôle face à cette crise qui menace l’avenir du sport le plus populaire du pays. Nous vous prions de lire l’intégralité de sa publication sur Facebook.
Jusqu’à quand l État guineen restera t il insensible à la pagaille et la cacophonie qui règnent au niveau de l intance qui dirige notre football a savoir la FGF :
Un comité exécutif divisé .
Un président désavoué par les membres majoritaires du comité exécutif à savoir 5 sur 8 membres . En plus de ses déboires devant la gendarmerie. Le même président est accusé par ses collègues de mauvaises gestions avec des preuves devant l organe d éthique de FGF.
Les enquêtes demandées par le PM suite à l élimination honteuse des U17 a Dakar sont reléguées aux oubliettes .
Malgré les saignées financières de l État guineen , la situation actuelle de notre football est pitoyable .
Nos équipes nationales sont éliminées de l essentielles des compétitions internationales importantes.
Le championnat national est quasi inexistant .
Pour ne pas que L État se mêle de toute cette pagaille pour clarifier les choses , ils font croire que la Fifa va suspendre la Guinée si il y a une interférence de l État . C est un faux argument.
L État doit savoir que le sport est dans ses prérogatives et que la FGF assure une mission de service public pour le compte de l État qui l as agréé dans ce sens pour l intérêt général. Et que la État dispose des prérogatives de puissance publique pour mettre fin à cette gestion cacophonique de notre football. En France le ministre des sports a fait démissioner le président Noel le graet un des présidents puissants du monde du football en y mettant la forme . La Fifa n as pas bougée . Au Cameroun Samuel Etoo s est vu dépouiller de ses prérogatives sur l équipe nationale . Puisque l équipe nationale est une affaire nationale et donc souveraine de l État . Il est même suspendu pour des mois par la CAF suite à des problèmes internes au seins de la fédération . Alors je me demande pourquoi en Guinée , l État reste passif à l action nocive de cette fédération sur notre football . Franchement le football est le sport le plus populaire dans notre pays. Il est pratiqué par la majorité des jeunes sans emplois qui pensent trouver un moyen d insertion pour assurer leurs avenirs et la stabilité de leurs familles. Comment peut on rester insensible à la crise de confiance qui est entrain tuer ce football dans notre pays devant nous tous ? En laissant ce sport dans la main des moins méritants .
Le texte ci dessus montre un exemple de division qui règnent actuellement a la FGF…Les décisions de gestions du Président contestée par la majorité des membres de son comité exécutif…