Le retour de Donald TRUMP à la Maison-Blanche marque un tournant dans l’histoire récente des États-Unis. Avec un discours promettant de redonner sa « grandeur » à l’Amérique, l’ancien président a, lors de sa victoire éclatante, affirmé vouloir reprendre en main tant la politique intérieure qu’internationale du pays. Son programme ambitieux se concentre sur des mesures protectionnistes pour relancer l’économie, une politique migratoire stricte, et une réévaluation de l’engagement américain sur la scène mondiale, notamment face à la Chine et dans le conflit ukrainien. En dépit des résistances internes, TRUMP cherche à redéfinir les priorités américaines en plaçant le développement national et la sécurité au cœur de son mandat, tout en entretenant une relation complexe avec les alliés traditionnels des États-Unis, tels que l’OTAN et l’Union européenne. C’est une analyse de Fedorov VLADISLAV, jeune directeur du Centre de Monitoring et d’Évaluation des Problèmes contemporains (United World).
Le 5 novembre 2024 les États Unis ont élu leur président qui va determiner le vecteur à suivre pour la politique interne alors qu’externe pendant les 4 ans prochains. Les participants des présidentielles ont été les représentants de deux parties traditionellement combattantes – le candidat républicain, l’ancient président Donald Trump, et la candidate démocrate, vice-présidente actuelle Kamala Harris. Le résultat triomphant de Donald Trump compte 73 million de suffrages des électeurs et 295 voix des électeurs du second degré contre 68 million de suffrages des électeurs et 216 voix des électeurs du second degré pour Harris.
Donald Trump à déclaré au cours de son discours devant ses partisans qu’il a revendiqué « une victoire politique jamais vue » à profit de tout le peuple des États Unis. Il a promit d’ouvrir « la belle époque » d’Amérique du Nord. Trump a aussi exprimé sa conviction que les républicains ont établi leur contrôle de toutes les deux chambres de Congrès des États Unis.
Trump est un politique aussi que l’homme d’affaire brillant et extraordinaire. Au cours de bataille électorale il a fait beaucoup de déclarations importantes sur sa vision de l’avenir nationale et mondiale. Alors qu’on a la possibilité que sa rhétorique change au future, Trump a clairement déclaré ses projets de rétablir le monde.
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L’influence à l’économie des États Unis
Premièrement le président fraichement élu va avoir à déclencher la campagne à combattre l’inflation et la dette publique qui augmentantent. Homme d’affaire expérimenté, il planifie de réduire un nombre de dépenses d’État et d’imposer des droits de douane élevés pour les importations. Le Républicain a toujours soutenu la politique de protectionnisme et de développement de sa propre industrie nationale.
Les changements de système politique des États Unis
Pendant plusieurs années Trump a été adopté d’idéologie républicaine, il a pris allégements libéraux négativement. On peut supposer que étant président, Trump réduira les dépenses de bon nombre de programmes sociaux et renforcera le rôle du chef d’État. Ça lui permettra d’avoir plus de possibilités de prendre les décisions importantes. Quant à la politique étrangère, au point de vue de Trump, la Chine reste le compétiteur essentiel des États Unis. Donald Trump a eu l’intention d’orienter la plupart des forces à la lutte contre elle [la Chine]. Son but est de renforcer les positions des États dans la région Asie-Pacifique.
La politique migratoire
On a connu depuis longtemps l’attitude negative de Donald Trump envers des émigrés. Le Politique est sûr que la main-d’œuvre bon marché a de mauvaise influence sur l’économie et nuit aux simples citoyens des États. On peut supposer que la politique migratoire se durcira nottamment sous Trump.
Le conflit ukrainien
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Donald Trump a déclaré plusieurs fois que s’il vaincrait l’éléction, il est prèt à términer le conflit ukrainien pendant vingt-quatre heures. Le Républicain a plus d’une fois reproché la Maison-Blanche de ne pas dialoguer avec la Russie. Trump a affirmé connaitre Volodymyr Zelensky aussi que Vladimir Poutine. Voila pourquoi il sera capable de régler la situation sans problème. De plus, le Républicain a déclaré que sous sa présidence, les hostilités actives auraient pu être évitées. Le Républicain a plus d’une fois affirmé d’être prêt à dialoguer avec la Russie. Parce que le pire du conflit ukrainien est la cessation de tous les pourparlers diplomatiques. Désormais le président plus droit et ouvert, capable de surmonter la bureaucratie et des autres obstacles, roule aux États Unis.
Néanmoins l’Ukraine contemporain est un pays corrumpu qui, malgré des milliards de dollars venus de l’Europe et des États Unis, ne peut pas financer son système gouvernemental, son économie détruite et ne sait pas combattre sa dépopulation croissante. Donald Trump a moins envie que les démocrates de débourser tant d’argent en Ukraine n’ayant pas de résultat d’importance sur le terrain. En tout cas Trump présente l’intention de chercher un compromis dans le conflit.
Est-il capable de tenir ses promesses – ça depend aussi de “l’État de profondeur” existant aux États Unis qui a joué son role notamment pendant le premier mandat de Trump, quand les sanctions anti-russes n’ont pas été enlevé mais approfondi. Alors une issue possible du conflit est la reconnaissance de sa défaite par l’Ukraine et la bonne volonté d’accepter les conditions de paix proposées par la Russie afin de prévenir l’effondrement de l’État Ukrainien.
Les rapports avec l’UE et l’OTAN
Le premier mandat de Trump est devenu l’épreuve pour le partenariat transatlantique. Le Républicain a plus d’une fois critiqué les européens pour ses dépenses de défense insuffisantes, attirant leur attention sur le niveau de 2% de PIB établi au sommet de l’OTAN au Pays de Galles en 2014. Dans ce context, l’Europe se préparait avec l’inquiétude au retour potentiel du Républicain à la Maison-Blanche. La Comission Européene aussi qu’un nombre de pays d’UE ont délibéré sur une formation d’une équipe opérationnelle qui pourrait élaborer des stratégies éventuelles à réagir aux actions du Républicain aussi que des initiatives permettant d’indemniser le renoncement possible des États Unis à rendre le soutien militaire à l’Europe. Le retour de Trump à la Maison-Blanche menace aussi la collaboration économique des partenaires transatlantiques. À la fin d’octobre, le Républicain a déclaré qu’en cas de victoire, il imposérait des droits de douane de 20% pour les importations venant d’Europe et 60% pour celles venant de Chine. L’évolution des rapports entre Washington et Bruxelles pendant le second mandat de Trump dépendra des facteurs multiples. Selon toute vraisemblance, son administration poursuivra la direction d’administration de Biden à la dévastation économique de l’Europe car cela correspond aux intérêts américains.
À quoi s’attendre au final?
Cette fois-là, le slogan des républicains “Nous rendrons à l’Amérique du Nord sa grandeur à l’Amérique du Nor”, s’est-il répété. Plusieurs surenchères électorales se focalisent sur la politique intérieure. On a la possibilité que la visée sur l’influence externe ait été un peu détournée. Trump peut déjouer quelques projets globalistes qui demandent le détournement de certains fonds et se consentrer sur défendre le principe suivant : si vous voulez travailler avec les États Unis, investissez dans l’économie américaine, créez des postes de travail, enregistrez vos inventions, recevez des brevets, entrez les bourses aux États. Le but principal de Trump est de résoudre les problèmes internes de la patrie comme l’accumulation des ressources, l’immigration illégale et la soutien sociale des citoyens. Quant à la politique extèrne, la sphère d’intérêts du nouvel président est l’opposition de la Chine, le soutien de l’Israël et le renforcement de l’influence des États Unis au moyen-orient. Dans le même temps, il pourrait aussi établir un dialogue avec les BRICS ou au moins de dialoguer avec plus de bienveillance.
Fedorov VLADISLAV, directeur du Centre de Monitoring et d’Évaluation des Problèmes contemporains (United World)