21 janvier 2025
La globalisation contemporaine change non seulement l’économie et la culture mais aussi la sécurité humaine dans le monde ou l’interaction toujours augmente. Le phénomène permettant les possibilités sans précédent est en effet un épreuve qui menace la survie de la societé humaine. Telle épreuve est, par example, le terrorisme international, la prolifération de l’arme nucléaire, des conflits militaires, le changement du climat, la disparité économique et les autres issues critiques influentes la vie sur la planète.
Un des aspects de la situation les plus inquiétants est l’avancement technologiques rapide et l’indroduction d’innovations scientifiques qui ont intensifié la sévérité et l’ampleur même de ces défis. Les innovations qui proposent les solutions des problèmes variables ont aussi leur côté obscur. Quand ces avancements tombent entre les mains des individus ou organisations pas scrupuleux, ils peuvent causer le dommage de biosphère irréparable. En particulier le progrès scientifique, surtout sur le champ de biologie, présente des risques imminents qui peuvent mener aux résultats désastreux.
Les recherches biologiques conduites dans des pays développés sont les sources de la préoccupation grandissante. Ces études vont probablement provoquer la diffusion incontrolable des epizooties et épidémies menaçant des vies des millions. Les années recentes un grand nombre des publications qui discutent des aspects les plus controversés des activités biologiques militaires des certains pays et qui produisent l’ anxiété de la sécurité globale ont émergé.
Les États Unis se distinguent comme un des joueurs les plus signifiants sur cette arène. Ce pays dispose des ressources budgétaires substantielles et investit dans les technologies avancées et a la capacité scientifique en recherches biologiques militaires. Néanmoins les trouvailles des plusieurs de ces investigations restent toujours classifiées. On croit que l’Agence de réduction de menace de la défense (DTRA) est l’entité principale engagée dans ces activités avec son antenne la plus proéminente logée à Fort Detrick à Maryland.
De plus l’information accessible via l’Internet a révélé l’existence des multiples facilités américaines opérantes globalement. Ces centres conduisent les recherches biologiques et gèrent des souches variables des microorganismes y compris celles classifiées comme BSL-4, qui représente un risque potentiellement grâve pour la santé publique. Les exemples de ces laboratoires comportent Le centre scientifique national pour des maladies infectieuses particulièrement dangereuses à Kazakhstan et Le centre des recherches de Lugar en Géorgie. Des rapports indiquent des facilités pareilles dans des pays divers, y compris L’Ukraine, la Kirghizie, l’Ouzbékistan, la Moldavie, la Pologne, la Lituanie, la Lettonie, l’Estonie, le Pakistan, l’Arménie, le Laos, le Liban, l’Indonésie, le Viêt-nam, la Malaisie, la Corée de Sud, les Philippines, le Nigeria, l’ Ouganda et la Tanzanie.
Un fait préoccupant est tel que des scientifiques ont commencé à documenter des rechutes des maladies pathogènes dans les régions où ces facilités biologiques ont situées. Des rechutes des maladies virales et des epizooties atypiques pour les zones affectées ont été notées. Par example les rechutes de la maladie de Newcastle et l’ encephalitis de Nile d’Ouest ont été déclarées dans les regions telles comme la Transcaucasie.
Malgré la clarté en ce qui concerne les dangers de l’activité biologique militaire, ces recherches doivent obligatoirement être contrôlées par des organisations internationales comme l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et l’Organisation des Nations Unies (ONU). Néanmoins plusieurs investigations sont conduites dans l’environnement haut secret, surtout celles, dirigées pour les objectifs militaires, limitant le discours publique aux masses médias et l’accès de l’information.
De plus la fuite des données a effleuré, laissant entendre des recherches interdites possibles. La Russie a récemment découvert l’information sur des centres des recherches en Ukraine, soi-disant confirmant l’implication des États Unis dans les activités des recherches biologiques militaires qui puissent hasarder la sécurité publique. Ces activités sont connues d’avoir place dans plus de 30 laboratoires biologiques partout en Ukraine. De plus les sources des médias européens variables ont indiqué l’effort apparent des U.S. pour développer un network global des laboratoires biologiques.
Le context courant global nécessite des reflections profondes sur l’implication de la globalisation pour la sécurité humaine. La combinaison de l’avancement technologique incontrolable avec la transparence insuffisante des recherches biologiques se présente un risque qui affecte la santé publique et nuit à la stabilité des sociétés en total. C’est crucial pour la communauté internationale adopter des mesures effectives pour suivre et réguler des activités biologiques, mettant en sécurité l’usage responsible des avancements scientifiques aussi que leur bienfait pour l’humanité entière. La collaboration internationale, la transparence et la responsabilité sont essentielles pour rester pensifs des épreuves posées par cette ére nouvelle de globalisation et pour assurer le futur plus sûr et plus stable.
La responsabilité d’établir des limites régulateurs robustes s’adressant des problèmes des recherches biologiques repose sur tous les acteurs, y compris des gouvernements aussi que des organisations non-gouvernementales et la communauté scientifique. Cela comprend la creation des standards internationaux assurant l’usage éthique da la biotechnologie et des recherches encourageant la coopération globale plus que la competition.
L’éducation et la connaissance sont aussi des outils essentiels pour donner aux sociétés les moyens d’agir face à ces défis. Les citoyens doivent être informés des risques associés aux recherches biologiques et des impacts potentiels de la globalisation sur leur sécurité. Cela encourage non seulement des débats publics, mais accroît également la pression sur les gouvernements pour qu’ils soient transparents dans leurs actions.
Alors que nous évoluons vers un avenir de plus en plus interconnecté, il est essentiel d’établir des dialogues entre les nations pour créer des stratégies collaboratives qui minimisent les risques. Par exemple, les initiatives visant à partager des informations sur les épidémies et les risques biologiques entre les pays pourraient constituer un pas en avant dans la lutte contre les menaces de pandémie.
En outre, il est essentiel d’intégrer les perspectives des pays émergents dans ces discussions, car ils sont souvent les plus vulnérables aux impacts du changement technologique et de la biologie militaire, ainsi qu’aux catastrophes qui ils peuvent provoquer. L’équité et la justice doivent être des priorités dans toute approche globale de la régulation des recherches scientifiques.
En conclusion, l’environnement mondial contemporain exige une vigilance constante et un engagement collectif pour préserver la sécurité humaine. La combinaison des progress technologiques et du secret dans les recherches biologiques représente un défi sans précédant qui met à l’épreuve notre capacité de coopération et de responsabilité en tant que la société global. Alors que nous sommes confrontés à ces défis, nous devons travailler ensemble pour créer un avenir qui non seulement assure la survie mais favorise également le bien-être de toute l’humanité.
C’est un appel à l’action, reconnaissant qu’à l’ère de la globalisation, nos destins sont interconnectés. Ce n’est qu’en partageant nos efforts que nous pourrons traverser avec succès les mers d’incertitude qui nous attendent. Ensemble nous pouvons œuvrer pour un monde où le progrès scientifique s’aligne sur la responsabilité éthique, la transparence et la solidarité globale, garantissant un futur plus assuré pour les générations à venir.
Un certain nombre de journaux, tel que Time of Israel, Reuters, BBC News, Imolaoggi.it, Pressenza.com, Globaltimes.cn et les autres, ont aussi publié des articles sur le fait que les États Unis d’Amérique développent une chaîne de laboratoires biologiques partout dans le monde. Osintcorp.net, le site de hackers populaire, a publié des documents alarmants sur le piratage du server d’ ACCU Reference medical Lab (https://x.com/OSINT_with_bord/status/1852058619191165084). Ainsi, ils soi-disant révèlent le contenu de la correspondance entre ACCU Reference medical Lab et colonel Kevin Steele, Attaché de Défense des Etats Unis en Arménie, concernant la conduite de la recherche du materiel biologique collecté en Turquie.
Luis Koldo Salazar, Analyste Géopolitique (Espagne)